Nous avons trouvé un article très intéressant et flatteur concernant l’essai de la Volkswagen Golf GTI par le site thestar.com. Comme le texte écrit par Jim Kenzie était seulement disponible en anglais, nous en avons traduit les grandes lignes pour vous.
Notre fille Dr. Laura a assez bien résumé la Volkswagen GTI: «Je veux acheter cette voiture.»[…]
Ce que j’ai testé était le modèle 2020, officiellement le «MK7». Le prix de détail pour le véhicule d’essai est de 30 845$ avec l’ensemble Autobahn, avec la transmission 7-vitesses à double-embrayage DSG et l’ensemble d’assistance à la conduite supérieur. Le modèle tout-équipée de 2021 est à 35 995$ […]
C’est grâce à son subtil ajout rouge à la calandre et ses jolies roues de 18 pouces en alliage que vous serez en mesure d’identifier qu’il s’agit d’une GTI. L’intérieur nous rappelle d’une certaine façon la Jetta Wagon 2003. Il y a longtemps que Volkswagen a compris comment bien faire les choses comme avec les commandes de contrôles des rétroviseurs et les fenêtres. Alors pourquoi changer?
Parmi ce qui a été revu, il est maintenant possible d’allumer les phares une seule fois quand vous l’achetez et ne plus jamais y toucher. Comme toutes les voitures devraient le faire, ses lumières s’éteignent après quelques secondes quand vous sortez de l’auto. L’affichage au volant et l’info-divertissement nous semble rapidement familier, même si on y retrouve une tonne d’informations maintenant. Apple CarPlay et Android Auto sont tous les deux supportés. On y retrouve même un chronomètre par tour si vous amenez la voiture sur la piste.
L’écran de navigation est clair, mais pour une raison qui nous échappe, j’ai du reconfigurer la carte dès que je changeais d’écran pour une autre fonction. Comme d’habitude, ça me prendra un certain temps pour maîtriser tous les boutons et contrôles.
La qualité de l’intérieur est juste et le fini est peut-être une marche plus basse que ce que nous avons actuellement, mais c’est sommes toutes très bien. Les sièges et le volant chauffant sont de série. Les sièges accueillent parfaitement papa comme sa fille, avec la parfaite balance entre confort et support. La banquette arrière est un peu à l’étroit pour des adultes, mais la ligne de toit horizontale et ses grandes portières arrières rendent son accès très facile. Le format à hayon est aussi synonyme d’accès facile à l’espace de chargement arrière.
Le moteur turbocompressé de 2.0L à 4 cylindres développe 228 chevaux à 6200 tours minute ainsi qu’un très bon couple de 256 livres par pied de 1500 à 4400 tours. Ça génère de fortes performances, accompagnées d’une note sportive à la sortie de l’échappement.
[Complétez la lecture en anglais ici.]
En conclusion, j’ignore jusqu’à quel point cette voiture impressionne simplement parce que nous sommes familiers à Volkswagen.
Mais il y a une singularité au bolide. Un sentiment de travail complété, comme si tout travaillait en synergie dans une harmonie presque parfaite. C’est caractéristique aux GTI du passé. C’est toujours le cas présentement.
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